Après un passage à Pékin plus difficile que prévu – quatre médailles de bronze plutôt que les cinq d’or et une d’argent récoltées à Athènes en 2004 – Benoît Huot, nageur paralympique, croit que la place offerte à ces athlètes s’améliore, mais qu’il reste encore du chemin à faire : «Je fais partie de l’équipe nationale depuis 10 ans et je dois dire qu’il y a un grand changement : on a beaucoup plus de facilité qu’auparavant. C’est essentiellement une question de visibilité.»