La discussion est vive ces temps-ci autour du journalisme et de sa place sur Internet. Au menu: financement, transition, mais surtout la qualité! J'ai été frappé, comme Steve Proulx, par le texte de Hugos Dumas Le plus beau métier du monde paru dans La Presse le 4 avril dernier. Le problème: je suis de cette génération qui croit fermement que Internet et journalisme de qualité ne sont pas à deux pôles opposés, qu'il est possible d'avoir l'un avec, mais surtout au service, de l'autre.